Mardi 17 octobre 2006 à 20:32

Aujourd'hui...

                                    c'est...

                                                                       mon...

                                                                                                       
                                                                                                                                                                ANNIVERSAIIIIIIIIIIRE!!


Yééééééééééééhééééééééééééééééééé!

Et tu m'as offert le plus merveilleux cadeau dont je puisse rêver... Me voilà enivrée sans avoir rien bu d'autre que l'anis de tes lèvres...

Dimanche 15 octobre 2006 à 21:52




Nous éprouvons le besoin périodique de reprendre notre liberté, sans jamais nous rendre compte que c'est toujours pour l'aliéner... car nous passons notre vie à changer de prison, jusqu'au jour où nous rencontrons le geôlier de nos rêves !

[Sacha Guitry]



Merci à Heise pour ses superbes beaux gosses, et à Deviant Art pour me l'avoir fait découvrir! ^^


Samedi 14 octobre 2006 à 20:43

Berk...

Je viens de relire ce que j'ai écrit hier soir... Le moins qu'on puisse dire est que l'amour fait vraiment perdre la tête, le sens des réalités, et plus grave, le sens de l'esthétique!
J'arrive pas à croire que j'ai pu écrire un truc aussi mièvre, sirupeux et bêtifiant!

* penser à prendre rendez-vous pour un récurage de crâne, pour enlever les dernières traces d'eau de rose...*

C'est à vomir, mais quelque part, c'est intéressant de voir dans quels abîmes de mièvrerie on peut tomber sans faire gaffe! Heureusement qu'il ne lira jamais ça, vive le tue-l'amour! xD

C'est pour ça, je préviens:

le romantisme, c'est bien mais c'est comme tout: pas d'utilisation prolongée sans avis médical.



Vendredi 13 octobre 2006 à 22:43

Je t'écris cette lettre, que tu ne liras jamais, pour le plaisir de répéter ces mots qui me hantent, que j'aimerais t'écrire, te dire, te chanter, te chuchoter...

Chuchoter... C'est une façon de parler tellement tendre, intime, sensuelle... La voix est si basse, on est obligé de se rapprocher pour l'entendre, mes lèvres effleurant ton cou, cette peau douce sous ton oreille que caresse ma voix susurrante... Comme si chacun de mes mots était un baiser posé directement sur ton coeur... Un moyen de parcourir tes rêves pendant que ma main parcourt ton visage détendu, confiant, presque fragile...



Dis, tu t'en souviens, de cet instant, où la planète nous a bercés, où le ciel nous a souri, où le vent nous a chanté ses plus belles chansons d'amour, dis, tu t'en souviens, cet instant où, l'un contre l'autre, ta main serrant la mienne, tes yeux caressant les miens, nous étions heureux?



Elever la voix percerait cette bulle de douceur qui s'est installée, qui nous élève hors du monde, et nous le montre dans un halo irisé, étincelant, comme si un peintre céleste avait trempé son pinceau dans ton coeur, sur ta bouche, sur tes yeux, pour remplir le monde de couleur et de chaleur...

Chuchoter, pour te dire toute la musique que tu fais naître en moi, cette mélodie douce-amère inlassable, comme un bruit de fond permanent qui ne me quitterait jamais, parfois imperceptible, parfois assourdissante, mais qui emplit toujours mon univers...

Pour te dire ce coin d'été dans ma tête, ce soleil qui brille même sous la pluie de mes larmes, qui me réchauffe même quand j'ai froid au coeur, quand j'ai froid de ton absence...

Pour te dire l'océan de tendresse que tu fais naître en moi d'un mot, d'un geste, d'un sourire... Un océan où surgissent les sirènes, les fleurs, les perles de mon désir, cette chatoyante cacophonie quand nos peaux se rencontrent, glissent l'une contre l'autre, se reconnaissent...

Cette brûlure de l'âme quand je m'imprègne de ton odeur, quand je m'enivre du parfum de ta peau, de ta chaleur, de ta douceur, à tel point que l'alcool me dégriserait, à tel point que je vois les étoiles en plein jour, que j'entends fredonner les fleurs, que je sens le goût de ton coeur...

Cette impression de retrouver une partie de moi-même quand je suis dans tes bras... Cette impression que mon corps reconnaît le tien, qu'ils ne forment qu'un, que j'ai enfin retrouvé tout ce qui me manquait, ce morceau de moi si important, si vital qu'avant toi, je ne vivais pas, je survivais, comme une étoile de mer incomplète essaie de se reformer...

Ce mal de mer permanent, ce malaise si délicieusement insupportable, sentir mon coeur qui bouge, tourne, retourne, et fait remonter tous mes mots, malgré moi, ma peur, ma tristesse, mon rire, mon rêve, chaque fois que tu joues avec mes sentiments...





Te dire enfin ce vide en moi quand tu n'es pas là... l'impression de ne pas exister, que le monde n'existe pas, un sinistre décor peint à la va-vite par un peintre en bâtiments sous-payé... Ce froid à l'intérieur, cette glace autour du coeur quand je n'ai pas de nouvelles... Cette faim immense, maladive, désespérée, boulimique, de te voir, t'entendre, te sentir, te toucher... Cette impression de ne plus rien voir quand ton sourire ne m'éclaire pas, toute sensation inutile quand tu n'en es pas l'objet...
Un cri silencieux qui m'étouffe, m'ébranle, m'assomme...

Chuchoter enfin, tout doucement, tout tendrement, chuchoter tout contre tes lèvres, mon amour, ces mots si simples et si désespérés, si doux et si blessants, si ridiculement plats et pourtant si riches, qui te livrent mon coeur sur un plateau d'argent:

J E    T'   A I M E . . .

Mercredi 11 octobre 2006 à 22:20




Si tu chantes la Beauté, même dans la solitude du désert, tu trouveras une oreille attentive.

Khalil Gibran


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