Lundi 19 février 2007 à 10:17

Pour toi ma Boulette! :D

Un jour, dans une convention, j'ai rencontré Shin...
(en vrai, je me souviens plus si c'était lui, mais il lui ressemble beaucoup... normal, me diras-tu, pour un cosplay! ;p)



Dommage qu'il ne sourie pas!

Samedi 17 février 2007 à 20:38

Spéciale dédicace à Boulette, ma jumelle paranoïaque! :D Bisouuuuu! Et si cette longue biographie (pas de moi) te rebute, rendez-vous à la fin de l'article pour quelques trucs plus parlants et plus sympas pour la musicienne que tu es! :)

 En espérant que tu aimes! :D

LES OGRES DE BARBACK



L'aventure du groupe Les Ogres de Barback, quatre frères et soeurs, commence en 1994. Sam l'aîné (violon, trompette, guitare, bugle, épinette des Vosges) fait alors partie d'un groupe de rock alternatif, Les Minoritaires. Son frère cadet Fred (accordéon, trombone, guitare, chant), apprend l'accordéon pour rejoindre la formation, qui dès lors compte neuf personnes. Face à la difficulté de trouver des lieux pour se produire, Sam et Fred monte un duo violon/accordéon et jouent indifféremment dans les rues, sur les marchés et dans les bars. On leur propose un concert et c'est tout naturellement qu'ils convient leurs deux soeurs jumelles Alice (violoncelle, contrebasse, scie musicale, choeurs) et Mathilde (piano, tuba, flûte traversière, clarinette, choeurs). L'expérience est concluante et le quatuor décide de continuer. Leur nom est trouvé par hasard dans le dictionnaire : ils transforment tout simplement « orgue de barbarie ». Les Ogres de Barback se produisent alors dans tous les lieux possibles pendant trois ans et se forgent un répertoire.

En 1997 sort leur premier album auto-produit Rue du temps. Ils le défendent sur scène, au Café de la Danse à Paris, mais également en tournée dans l'hexagone, ou lors de premières parties des Têtes Raides, de La Tordue, de Thomas Fersen, de Jacques Higelin… Peu à peu, les Ogres qui viennent d'une famille de musiciens (père pianiste et collectionneur d'instruments), deviennent multi-instrumentistes pour diversifier les arrangements de leurs chansons. Avec Irfan (le héros) qui paraît en 1999, ils amènent une touche de musette et de fanfare à leurs couleurs tziganes d'origine. Leur style musical, ils le définissent simplement comme de la « chanson ». En fait, trois grandes influences se retrouvent dans leur musique : la chanson française des années 1950-60 avec Georges Brassens, Jacques Brel et Pierre Perret qu'ils écoutaient chez eux, le mouvement rock alternatif des années 1980, avec les Bérurier Noir, la Mano Negra, les Satellites ou les VRP, et toutes les musiques de l'Europe de l'Est. Ce mélange bien personnel est joué sur des instruments acoustiques avec une énergie rock, servi pars des textes néoréalistes, qui parlent tant de voyage, que des petites gens, de leurs révoltes et de leurs amours…

L'esprit alternatif se retrouve dans l'auto-production de leurs disques et dans la volonté de posséder leur propre chapiteau afin de jouer partout dans de bonnes conditions, d'inviter des groupes, de se rapprocher de leur public en France comme à l'étranger. Ainsi après un festival où tous les groupes jouent bénévolement, en compagnie entre autres de Néry (ex-VRP), de Polo (ex-Satellites), des Matchboxx ou encore de Debout sur le Zinc, les Ogres achètent un chapiteau qu'ils baptisent Latcho Drom et montent une association. Ils continuent de tourner, sortent un double album Fausses notes et repris de justesse en 2000. On y retrouve d'une part des morceaux de leurs deux premiers opus, enregistrés live notamment dans un bar, d'autres part des reprises de Georges Brassens, de Pierre Perret, de Renaud, des Têtes Raides, de la Mano Negra ou des Bérurier Noir. Pendant trois mois ils sillonnent les routes françaises en compagnie du groupe Les Hurlements d'Léo, avec lesquels ils se sont associés pour le chapiteau. Ils en profitent pour écrire leur quatrième album Croc' Noces (2001).
Afin de financer un projet de tournée en Europe de l'Est avec les Hurlements, les deux groupes jouent ensemble en 2001 et enregistrent un disque en concert Un Air deux familles, pour lequel ils composent huit chansons originales. Avec le bénéfice des ventes ils se produisent au printemps 2002 à Bruxelles, Berlin, en Pologne, en Roumanie et en Suisse. En octobre suivant, Les Ogres de Barback transforment deux soirs de suite la scène de La Cigale à Paris en un véritable cabaret où se mêlent magiciens, conteurs, Les Matchboxx, Les Hurlements D'Léo, Néry, Polo, Debout sur le zinc, François des Bérurier Noir pour une reprise de « Salut à toi » et même Pierre Perret. Les Ogres ont d'ailleurs orchestré certaines chansons du nouvel album de ce dernier, Cui-là, paru en décembre 2002. Les Ogres de Barback publient le 12 avril 2003, un disque de chansons pour enfants, La pittoresque histoire de Pitt Ocha, sur lequel chantent Polo, Néry, Les Hurlements d'Léo, Les Matchboxx, Charlotte etc., La Tordue… De nouveau en tournée, ils se produisent le 21 mai 2003, sur la scène du Café de la danse à Paris.

Le 8 avril 2004 sort Terrain vague, septième album des Ogres, composé pendant la tournée 2003. Le groupe s'est adjoint les services d'un orchestre symphonique amateur bordelais et de la Fanfare du Belgistan (3 sax, 1 trompette et 2 percus). Sur "3-0", chanson antifranchouillarde, chacun des huit couplets accueille un invité régional : Sanseverino (Paris), Loïc Lantoine (Lille), Les Hurlements d'Léo (Bordeaux), Tatou et Lux B de Massilia Sound System (Marseille)... Pour fêter leur dix ans d'existence, Les Ogres de Barback entament une tournée française en octobre.

Fred accompagné d'Alex Leitao (accordéon), Alice (contrebasse, violoncelle), Olivier Daviaud (piano, violoncelle) donne une douzaine de concerts en interprétant les chansons de Renaud de janvier à avril 2005. Le 3 mai 2005 sort Fredo chante Renaud, disque enregistré live à l'EMB de Sannois dans le Val d'Oise. Après quelques dates en mai et juin, Les Ogres tournent tout le mois de juillet, avec un passage aux Solidays le 9 et un autre le 14 au Francofolies sur la grande scène en compagnie de La rue kétanou, Sinsemilia et Marcel et son orchestre. Dès octobre 2005, ils sillonnent à nouveau les routes de France. Ils se produisent à l'Olympia les 17 et 18 janvier 2006. Le 8 novembre 2005 sortent le CD live Les Ogres de Barback et la Fanfare du Belgistan et le DVD 10 ans d'Ogres et de Barback.

© Le Hall de la Chanson



Pour les noreilles :

Jeudi 15 février 2007 à 22:55

Aujourd'hui, séance d'essayage de pantalons.
Conclusion : Je suis la seule fille au monde dont le cul est visible depuis la Lune et trouvable sur un atlas. (enfin, c'est l'effet que ça m'a fait)

Sans blague, vous n'avez jamais remarqué comme les miroirs et les lumières des cabines d'essayage peuvent nous enlaidir? Déjà que si on regarde la mode actuelle, avec les vêtements c'est pas magique, mais là en cabine c'est carrément l'horreur! xD

Les miroirs nous renvoient nos courbes honteusement accentuées, la lumière soit-disant "du jour" (un jour pareil, je me lève pas) s'attarde exprès sur toutes les imperfections qu'on a (vainement) tenté de dissimuler, les souligne, et même les surligne... Bref, tout est fait pour nous persuader, en sortant de là, de notre totale et irrémédiable laideur, d'autant que les vêtements qui semblaient jolis sur le cintre ou le mannequin, nous font ressembler à un sac à patates.
(ça le fait ptêt que pour moi, cela dit! xD)

Pff... M'en fous de toute façon, le style "taille-tellement-basse-que-j'en-ai-le-cul-à-l'air" (limite si on voit pas jusqu'aux chaussettes quand on s'assoit! xD), c'est pas mon genre!
(quitte à montrer ses petites fesses, autant ne rien mettre, c'est plus confortable et ça évite de ressembler à un gâteau qui déborde du moule... ;p)

Cela dit, j'ai trouvé un jour UN magain où les cabines embellissent! C'était (je crois) Darjeeling à Montparnasse : Cabines spacieuses tendues de rouge, éclairage délicat, ravissants sous-vêtements...
C'est peut-être ça mon style, en fait! ;p dessin de karincoma
 

Mercredi 14 février 2007 à 22:35



Suivant la tradition japonaise que vous connaissez, vous auriez dû recevoir de ma part de monstrueuses boîtes de chocolat (pour les filles aussi, parfaitement, je fais ce que je veux! je suis une r3b3lz, oui ou non?), mais mon portefeuille étant plus secs que le sahara, vous devrez vous contenter de l'intention! ;p

Donc

MOON-CHAN ma fée adorée
HEBI-CHOU ma filleule chérie
OUANA la garce
NYARKOUNET le Nécromanchien tout mignon
SALIA la blonde guerrière aux doigts de fée
(et pis aussi ma Blonde préférée paske sinon elle râle et que c'est pénible ;p)

Je vous adore!! "I love you more than chocolate cake", et ça n'est pas peu dire! ;p

Je vous fais donc tout plein de bisous, de poutous, de câlinous tout doux, tout choux, et surtout, tout fous! :D

Bonne Saint Valentin! :)


Mercredi 14 février 2007 à 17:41



Ca y est, on y est, crête d'une loooongue vague de guimauve à la rose, point culminant de semaines de marketing amoureusement outré, de "OOOOooooh *trémolos* chéri, un dîner aux chandelles, grand fou! (grand rat, surtout, t'aurais pu payer un restau) - J'aime que tu aimes, mon amour! (d'autant que c'est toi qui vas te taper la vaisselle)" , allez, embrassez-vous! xD

(Ceux qui sont seuls - comme moi, oui, oui - embrassez-vous et profitez de cette occasion de vous rappeler pourquoi VOUS vous aimez, avant de vous détester et vous cracher à la gueule)

Bref, la fête la plus attendue par les bijoutiers est là, ô joie.

Comme d'une, je suis si conformiste que je ne peux m'empêcher d'en parler, et de deux, je refuse de tomber autant dans le "Rooh baaah beeeeerk c'est qu'une fête khômmerciale t'façon! (mais qu'est-ce que j'aimerais faire partie de ce troupeau de consommateurs hébétés)", que dans le "c'est le plus beau jour de l'année, avec mon amour (3 jours qu'on sort ensemble), on s'êêêêême pour toute la vie et au-delà, témoins cette oreillette bluetooth dernier cri (argh) qui me fait une tête d'alien des années 70 e ma promesse de ne pas avoir de migraines pendant deux semaines"...

Comme tout ça, avais-je commencé avant de me perdre dans ma propre phrase (c'est ça le problème avec les phrases à rallonge, elles finissent par échapper à tout contrôle), je laisse à la musique le soin d'en parler, et de nous faire avaler ces mielleuses niaiseries en délicieuses rêveries...

Chanson du jour : 
'tite sélection en vrac :
 

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