Je trouve que l'interface de Cowblog ne donne pas vraiment envie d'écrire, en fait. Ou alors c'est l'écran en général.
J'étais venue, à la recherche d'inspiration, me disant que ça viendrait, mais alors que je peux me lancer dans n'importe quel délire avec un papier et un stylo, cet écran blafard me renvoie le vide de mon cerveau : pas le moindre début de bout de machin à écrire.
Eeenfin.
Nan, en fait, j'écris parce que je me sens bizarre, depuis deux-trois jours.
Je viens de découvrir qu'on peut s'habituer à tout, mais vraiment à tout et n'importe quoi, la mélancolie, la solitude, la self-détestation, la peur, bref, tout ce qui rend un quotidien radieux et pimpant quand on n'y a pas droit... Tant qu'on n'a pas connu mieux.
Passé ce cap, difficile de regagner son morne quotidien.
Comment retourner à ma solitude après cette IRL de rêve? C'est la question qui me hante.
Quand je repense à cette après-midi (si durement gagnée, si cher payée!), j'en ai presque les larmes aux yeux et le coeur qui se serre comme les griffes de l'aigle. (les serres. haha.)
Depuis la quasi-terreur de voir tant de gens à la fois (au point que je me suis demandée si j'allais pas renoncer) jusqu'à la tristesse du départ... Qui aurait cru que je m'amuserais autant, que je parlerais autant avec tant de gens si charmants?
Un moment de pure liberté, de gaieté sans arrière-pensée, sans fausses notes, avec des rires, des insultes joyeuses, des bisous, des câlins d'une qualité et d'une quantité rarement atteinte...
Et me voilà, dans ma chambre, face à mon PC, à mes bouquins, à mon téléphone muet, sachant que je ne reverrai personne avant un bon moment... Et là, je pose la question : est-ce un péché que de noyer son chagrin dans des sablés ronds et bons?
En plus, j'ai loupé Salia-chan et Hebi-chou... comme quoi la plus merveilleuse journée ne peut être parfaite... :/
Mais trêve de jérémiades à deux ronds, jvais me noyer dans la musique et on n'en parlera plus!
J'étais venue, à la recherche d'inspiration, me disant que ça viendrait, mais alors que je peux me lancer dans n'importe quel délire avec un papier et un stylo, cet écran blafard me renvoie le vide de mon cerveau : pas le moindre début de bout de machin à écrire.
Eeenfin.
Nan, en fait, j'écris parce que je me sens bizarre, depuis deux-trois jours.
Je viens de découvrir qu'on peut s'habituer à tout, mais vraiment à tout et n'importe quoi, la mélancolie, la solitude, la self-détestation, la peur, bref, tout ce qui rend un quotidien radieux et pimpant quand on n'y a pas droit... Tant qu'on n'a pas connu mieux.
Passé ce cap, difficile de regagner son morne quotidien.
Comment retourner à ma solitude après cette IRL de rêve? C'est la question qui me hante.
Quand je repense à cette après-midi (si durement gagnée, si cher payée!), j'en ai presque les larmes aux yeux et le coeur qui se serre comme les griffes de l'aigle. (les serres. haha.)
Depuis la quasi-terreur de voir tant de gens à la fois (au point que je me suis demandée si j'allais pas renoncer) jusqu'à la tristesse du départ... Qui aurait cru que je m'amuserais autant, que je parlerais autant avec tant de gens si charmants?
Un moment de pure liberté, de gaieté sans arrière-pensée, sans fausses notes, avec des rires, des insultes joyeuses, des bisous, des câlins d'une qualité et d'une quantité rarement atteinte...
Et me voilà, dans ma chambre, face à mon PC, à mes bouquins, à mon téléphone muet, sachant que je ne reverrai personne avant un bon moment... Et là, je pose la question : est-ce un péché que de noyer son chagrin dans des sablés ronds et bons?
En plus, j'ai loupé Salia-chan et Hebi-chou... comme quoi la plus merveilleuse journée ne peut être parfaite... :/
Dessin de Gailie
Mais trêve de jérémiades à deux ronds, jvais me noyer dans la musique et on n'en parlera plus!