"conne" ...
"lente" ...
"débile"...
"énervante à tuer"...
Ne pas répondre.
Ne pas crier.
Ne pas pleurer.
Ne pas montrer le moindre signe de la rage qui m'habite, pas le moindre frémissement, pas la moindre contraction, pas le moindre froncement de sourcils, sous peine de me prendre quelque chose dans le coin de la gueule.
Serrer les dents.
Baisser les yeux, dissimuler l'envie de le voir crever qui doit y danser une sarabande enflammée.
Ravaler cette boule de haine et de rage qui remonte doucement, chaque fois plus grosse, et menace de m'étouffer.
Surtout ne pas pleurer, ce serait l'humiliation suprême.
Etouffer tous ces sentiments qui menacent d'exploser, oublier cette solitude qui m'écrase plus durement que jamais, détourner les yeux de la fenêtre pour ne pas penser aux barreaux qui m'entourent, m'abrutir le plus longtemps, le plus profondément possible, pour ne plus penser.
De la musique, de la musique, de la musique, je n'ai plus que ça, chanter sans réfléchir, en essayant de vaincre les sanglots qui menacent d'éteindre ma voix et de briser le mur d'impassibilité que je leur oppose...
Ah non, j'oubliais, je peux pas chanter fort pour pas déranger les gens, suis-je bête. Alors, écrire?
Chuis un abîme de vide qui semble peser des tonnes... dingue, non? Oo
(je sais plus d'où vient cette image, mais je l'aime bien, toujours ce mélange de douceur et d'amertume... Et puis autant inaugurer le retour de mon PC qui me redonne la possibilité d'illustrer mes posts... Oui, mon PC est revenu. Youpi.)
"lente" ...
"débile"...
"énervante à tuer"...
Ne pas répondre.
Ne pas crier.
Ne pas pleurer.
Ne pas montrer le moindre signe de la rage qui m'habite, pas le moindre frémissement, pas la moindre contraction, pas le moindre froncement de sourcils, sous peine de me prendre quelque chose dans le coin de la gueule.
Serrer les dents.
Baisser les yeux, dissimuler l'envie de le voir crever qui doit y danser une sarabande enflammée.
Ravaler cette boule de haine et de rage qui remonte doucement, chaque fois plus grosse, et menace de m'étouffer.
Surtout ne pas pleurer, ce serait l'humiliation suprême.
Etouffer tous ces sentiments qui menacent d'exploser, oublier cette solitude qui m'écrase plus durement que jamais, détourner les yeux de la fenêtre pour ne pas penser aux barreaux qui m'entourent, m'abrutir le plus longtemps, le plus profondément possible, pour ne plus penser.
De la musique, de la musique, de la musique, je n'ai plus que ça, chanter sans réfléchir, en essayant de vaincre les sanglots qui menacent d'éteindre ma voix et de briser le mur d'impassibilité que je leur oppose...
Ah non, j'oubliais, je peux pas chanter fort pour pas déranger les gens, suis-je bête. Alors, écrire?
Chuis un abîme de vide qui semble peser des tonnes... dingue, non? Oo
ne l'écoute pas, il ne te connais pas. il n'a pas à te parler encore moins comme ça. laisse tomber. fais glisser. il ne compte pas.
c'est toi qui compte, belle et talentueuse, ma très chère "langue-pointue" ^^. C'est toi qui compte. l'autre, on s'en fout. Tu es bien au-dessus de lui, alors pourquoi te rabaisser à prendre en compte les conneries qu'il débite ? inutile.
Je t'adooooooooooooore Lala-Ru chan !!!
et je suis là, pas loin.